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"Un drôle de film, sauvagement triste"
Gallo a œuvré vers le minéral en virant l’histoire d’amour (il filme la perte et la peur), remplacé la femme aimée par son fantôme, l’Italie des peintres par la Californie des concessionnaires, la Formule 1 philosophique par le Racing moto combustible, mais il a gardé le blouson, les montures seventies des lunettes et le narcissisme de l’acteur, que chaque plan reflète comme un miroir.

Philippe Azoury

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