Que ses écrits soient aimés ou détestés, que son approche tantôt universitaire, tantôt décomplexé puissent rebuter une bonne partie des cinéphiles, il ne fait aucun doute à mes yeux que Thoret est l'une des plumes les plus marquantes de ces dix dernières années.
A travers ces articles dans l'Ecran Fantastique (fin des années 90), Starfix (2.0) puis par la suite dans les revues Simulacre ou Panic, Jean-Baptiste Thoret a délimité son cinéma de prédilection : les années 70.
Nerf de toute son œuvre livresque, en solo (26 secondes : l'Amérique éclaboussée ; Le cinéma des années 70 ; Sergio Leone ; Dario Argento : magicien de la peur) ou en collectif (Dennis Hopper and New Hollywood: Actor, Director, Artist ; Politique des zombies : L'Amérique selon George A. Romero ; Mythes et Masques : les fantômes de John Carpenter ; Why Not ? Sur le cinéma américain), Thoret n'aura de cesse de questionner, de comprendre, la décennie matrice de la plus part des cinéastes actuels.
Outre ses chroniques hebdomadaires dans Charlie Hebdo, ses participations à l'émission de radio "Mauvais Genre" de François Angelier , les amoureux de sa prose peuvent le retrouver maintenant sur son blog hébergé par Le Nouvel Observateur : Parallax View.
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